_ Histoire

Histoire : Son père était japonais. Un pauvre fonctionnaire japonais quelconque, jusqu'à ce qu'il fasse la connaissance d'une touriste Américaine aisées, qui deviendra la mère de Lawrence. Présenté comme cela, on pourrait tout de suite penser à un mariage où le plus pauvre veut profiter du plus riche. Et bien c'était exactement ça. Hashirama ne commença à éprouver des sentiments pour sa femme que deux ans après le mariage, tandis que cette dernière vit enfin sa patience récompensée. Ils choisirent de retourner en Amérique pour élever l'enfant qui devait naître quelque mois plus tard. A l 'âge de huit ans, Lawrence comprit que sa mère était une actrice lorsqu'elle partit quatre longs mois pour un tournage. Il fut bien vite obligé de s'habituer à ce genre d’absence. Alors qu'il avait treize ans, l'adolescent découvrit lors d'une fouille du grenier un katana enrubanné dans du tissu blanc. Sa mère lui expliqua alors qu'elle l'avait obtenu au cours d'un tournage en Irlande, un an après qu'il soit né. Comment avait elle trouvé un objet pareil là-bas ? Un homme le lui avait donné, sois disant en gage de son admiration. Abigail l'avait alors ramené, sachant que cela ferait plaisir son mari. Mais l'objet fut presque immédiatement entreposer dans ce qui sert de débarra universel pour éviter tout accident avec l'enfant, et il avait totalement été oublié.
Hashirama le déposa sur la table pour commencer à le déballer de sa housse de fortune. Mais lorsqu'il posa sa main sur le manche, il se crispa. Lawrence qui était juste à côté de lui fut spectateur de la fulgurante possession dont fut victime son père.
 
« J'aime... Je vous aime... Laissez moi vous... Éventrer. »

On aurait pu penser à une blague, certes de mauvais goût, mais à une blague tout de même. Sauf que le tranchant de l'antiquité n'était définitivement pas une blague. Sa mère n'avait pas attendu que la lame vienne l'effleurer une deuxième fois, et s'était précipiter sur l'homme en face d'elle pour tenter de retirer le katana de ses mains. Mais lorsque sa paume s'aplatit à son tour sur le manche, elle les condamna tout les deux : Leur esprit fusionna partiellement. Tout deux avaient alors lâché la relique et étaient tombés au sol. Sa mère, dans un dernier élan de lucidité avait alors marmonner à son fil : « Ne touche pas à ce sabre Lawrence, Jamais. ». Ce furent les derniers mot cohérent qu'elle prononça.
Tout alla alors très vite pour le jeune adolescent. L'état étouffa l'affaire et la refourgua à l’institut du paranormal. Le C.R.E.P.S. Là le garçon rencontra ce qui deviendrait dans un avenir proche son mentor. L'homme plus ou moins âgé et froid qui lui avait fait face lui avait laissé le choix : Les rejoindre ou retourner à une vie sans saveur. A treize ans, il choisit la voix la moins fiable. Sa formation commença alors. Et il l'avait regrettée parfois beaucoup, cette « vie sans saveur ».
Au cours de sa première année, un homme du nom de Shingen Kishitani vint au centre de recherche. Il disait savoir comment détruire Saika, le katana maudit qui avait été mis sous scellé après l'incident. Lawrence fut mis au courant seulement après que le scientifique soit reparti. L'apprenti reprit alors ses études, pensant que ce qui avait détruit sa famille était définitivement hors circuit. Peut être que si il avait su que trois ans plus tard Saika allait tombé aux mains du gamine de dix ans, il aurait été moins tranquille.
Après deux ans de théorie, il commença l’entraînement physique. Il pleura. Il n'avait que quinze ans. Mais il tint bon. Lorsqu'il voyait ses parents tout les deux mois, ça le poussait à vouloir réussir coûte que coûte. Ils n'étaient plus rien. Des fous souffrant de bipolarité aiguë. Si ce genre de chose pouvait se répéter, alors autant essayer d'en évincer un maximum.
Il finit son entraînement au bout de trois ans. À dix huit ans il était donc déjà sur des missions, bénignes toutefois. Puis il eut dix neuf ans. Les enquêtes devinrent plus corsées. Ce fut à vingt ans qu'il manqua de mourir durant une traque. Il fut maintenu dans un coma artificiel pendant deux mois. À son réveil il ne se rappelait plus vraiment de l'incident, sans doute résultat d'un traumatisme. Il rencontra à nouveau Shingen, qui en guise de retour avait eu la fabuleuse idée de le sauver. Le scientifique voulait rester quelques mois pour étudier les résultats obtenus au cours de ces dernières années. Il parla alors d'Ikebukuro. De la motarde sans tête. De l'homme à la force de monstre. De l'éventreur insaisissable. Lawrence fut envoyé au japon quelques semaines plus tard, sous recommandation de son mentor et de Kishitani. Il avait l'identité, l’expérience et le potentiel pour enquêter et agir. Néanmoins, on lui donna l'ordre de ne rien tenter pendant la première année. Ça n'était plus une petite mission où on fonçait droit dans le tas. C'était en quelque sorte de l'infiltration. L'agent devait devenir un habitant, s'intégrer avant de pouvoir enquêter avec naturel et ne pas se faire descendre d'entré de jeu. Alors il avait joué le rôle du fils de Mr.Ryoushi Hashirama voulant découvrir et s'installer dans son deuxième pays d'origine. Il était allé chez ses grand-parents qui l’avaient accueilli avec bienveillance. Il travaillait dans leur boutique. Il n'avait participé à aucun des événements surnaturels qui avaient eu lieu, se contentant d'être spectateur. Il n'avait rejoins aucun groupe, aucun gang. Il n'était qu'un habitant lambda.
Mais voilà que deux semaines auparavant il avait enfin reçu le feu vert. Sans non plus aller dans l’excès, il pouvait commencer à identifier toutes les activités paranormales et les classées dangereuses ou non. C'est ainsi que l'on arrive au Lawrence Ryoushi actuel, habitant d'Ikebukuro et agent spéciale à ses heures perdues.

_ Rencontres et relations

Quota de rencontre frôlant le zéro absolu. De même pour les relations.

_ Divers

Il vit chez ses grand-parents et travail à mi-temps dans leur boutique, lui permettant ensuite d'avoir le champs libre pour se balader et glaner quelques infos.
Il a des armes non déclarés. Ce serait trop compliqué si il était identifiable facilement.

_ Historique

Vide.